La Parole de Dieu à la Fête de la Résurrection du Seigneur

Depuis le ciel et jusqu’à la terre, depuis les choses invisibles de la création jusqu’à celles vues par les yeux de l’homme, d’en haut jusqu’en bas c’est la fête richement parée, d’une beauté indescriptible enveloppée d’une lumière éclatante, et sur cette voie de la gloire d’en haut il y a le chant de la résurrection, il y a du frémissement d’ailes, et tout chante «le Christ est ressuscité!». C’est la création visible et celle invisible qui chante, elles chantent Ma résurrection, Ma fête celle de deux mille ans, puisque J’ai été crucifié comme un coupable, mais Je suis ressuscité comme un Dieu, et Ma résurrection a réveillé toute la nature d’en haut et d’en bas, et tout a crié et a chanté: «Le Christ est ressuscité!», et l’enfer a été ébranlé en entendant cet hymne porteur de la bonne nouvelle: «Le Christ est ressuscité!».

Oh, les fils, fils de la Cité de Ma parole au milieu du peuple roumain, oh, comment pourrais-Je ne pas venir dans la cité avec Mes saints, avec Ma mère la Vierge, avec Mes disciples, hommes et femmes, tous témoins de Ma résurrection il y a deux mille ans, oh, comment ne pas venir au festin de la résurrection? Oh, les fils, Je Me suis levé en sortant de la terre et J’ai appris toute la nature à chanter Ma résurrection, car si Ma crucifixion et Ma mort n’ont pas alors rempli de chuchotement toute la terre, oh, Ma résurrection ensuite a répandu partout la grande nouvelle, a rempli toute la création du chant de la résurrection , tel qu’elle s’est accomplie l’Ecriture du jour du Seigneur, car en ces jours Je suis descendu du ciel et J’ai marché sur la terre, et ils se sont écrits alors les jours du Seigneur, jours de rédemption, couronnés à leur bout du grandiose jour de Ma résurrection, suivi par Mon ascension au lieu d’où J’étais descendu, pour venir sur la terre avec Mes jours, et J’ai demeuré ensuite à la droite du Père et J’y siège encore aujourd’hui, mais d’où Mon Père M’envoie toujours pour vous parler ici, chez vous, pour M’y tenir en votre compagnie et celle des saints, ceux engagés du Père par Moi et pour Moi, pour être les disciples témoins de Ma venue parole sur la terre, en cette cité, dans laquelle vous constituez Ma famille, cité qui porte un grand nom, et elle s’appelle A LA MAISON, car c’est ici que Dieu existe et travaille, c’est ici que le Père et le Fils et le Saint-Esprit parachèvent l’œuvre de la naissance à nouveau du monde, c’est ici que le Seigneur a rangé le trône de la parole, la chaise de jugement de la créature, c’est ici la maison et le jardin où viennent les fils chez le Père pour les fêtes, ils viennent chez les parents et ils se réjouissent en les réjouissant, en consolant leur nostalgie des parents et de la maison, de la compagnie sainte, les fils.

Oh, Le Christ est ressuscité! C’est Moi Qui salue ainsi Ma maison, Ma cité et vous ici, les fils. C’est Moi, Moi et Ma maison et Ma famille et les fêtes du ciel ici. Oh, qu’ils sont heureux Mes saints lorsque Je viens avec eux ici, chez Moi, chez les frères, chez vous, les fils. C’est ici que J’ai choisi Ma maison et J’ai élevé beaucoup d’enfants, mais il y en a quelques-uns qui n’ont plus la nostalgie des parents, de la maison, et ils se sont éloignés, ils se sont en allés, allés loin, ils ont quitté la maison et ils ne reviennent plus, ils n’ont plus le désir de rentrer.

Oh, les fils, les fils, il y en a des enfants aimants et des enfants qui n’aiment pas. Ces derniers, qui n’aiment pas les parents et les frères, ne se réunissent plus à la maison pour les grandes fêtes, ou bien plus, certains d’entre eux partent loin, dans des pays lointains ils partent, ils n’ont plus la nostalgie de la maison et ils se construisent là-bas des maisons et ils y restent, si loin, ils ne rentrent plus, ils n’y pensent plus, ils s’éloignent, ils se déracinent peu à peu et restent des étrangers, étrangers, les fils.

Mais heureux, combien heureux sont les enfants qui aiment les parents, qu’ils sont heureux ceux qui restent enfants pour les parents et qui attendent d’un désir ardent le temps des grandes saintes fêtes pour aller chez les parents, chez les frères, restés près de la maison, chez les autres parents!

Oh, quels beaux moments passent les enfants qui se réunissent à la maison, chez leurs parents, les fils! Cette cité s’appelle A LA MAISON, la maison paternelle, la maison du Seigneur est elle, car ici demeure le Seigneur, tel qu’il est écrit le nom de Sa cité, celle du Seigneur, et les enfants qui aiment les parents viennent à la maison menés par la nostalgie, ils viennent chez les parents pour les fêtes, la joie les porte et ils se réunissent, ils viennent pour la compagnie joyeuse, et ils retrouvent la joie et la consolation paternelle, celle de l’enfance.

Oh, les fils, les fils, c’est ainsi qu’il attend le peuple chrétien, celui qui se nourrit de la grâce de la parole, c’est ainsi qu’ils attendent dans les fêtes, ils attendent de venir à la maison, venir chez les parents, chez les frères, pour se mettre ensemble à la table de la joie, pour passer les fêtes avec les parents, enfants aimants et désireux de leur parents, les fils.

Oh, nous sommes à la table du désir des parents, qui nourrit l’âme, les fils. Moi et Ma mère, la Vierge, Mes disciples, hommes et femmes, nous sommes tous ici, et ce lieu est la maison paternelle, où les chrétiens se réunissent pour les fêtes, ils se rassemblent et ils sont heureux, car l’amour des parents leur garde l’état de l’enfance, et les empêchent de s’éloigner. Je vous ai vous ici et nous servons ceux qui viennent à la maison dans les fêtes et nous les mettons à table, les fils. Vos petites mains sont les Miennes lorsque vous préparez l’habit merveilleux des fêtes, et la table de la fête, le festin des rencontres saintes toujours et toujours. Oh, les fils, les mains de la terre et de toute la création sont seulement les mains de l’homme. Lui seul a des mains, lui seul peut servir et soigner, il peut laver, coudre, tisser, il peut travailler et servir à tout ce qui n’a pas de mains. Les mains de l’homme sont celles qui servent à la réalisation de tant de merveilles, tant de beautés, tant d’amour, les fils. Oh, c’est pour cela que l’homme est reconnu empereur sur les créatures, partout entre la terre et le ciel. Les mains de l’homme sont créatrices, comme les mains de Dieu, car elles font ce que Dieu doit faire, ce qu’il y a à faire, et la terre nourrit l’homme à l’aide des mains de l’homme, tel qu’il est écrit.

Oh, les fils, vous avez richement préparé le festin de résurrection, mais la nostalgie des enfants, leur amour des parents est toujours plus faible, il est faible du tout, leur désir nostalgique n’est plus, et sens ce désir tout s’éteint et c’est l’éloignement de Dieu qui vient prendre la place de l’amour des parents.

Oh, les fils, que le travail de vos mains soit toujours fait de tout cœur et avec générosité, jours et nuits, puisque le Seigneur a besoin des mains de l’homme, et toute la création a besoin de l’homme. Rien et personne ne peut panser une blessure sauf les mains de l’homme, celles qui peuvent arrêter le sang d’une plaie profonde, qui peuvent extraire une épine enfoncée dans la chair, oh, et toute la création, tous les êtres reconnaissent l’homme comme empereur, et il y en a certains qui s’approchent de lui et font du service sous ses mains, et d’autres fuient la main humaine et ont peur, ils ont peur de l’homme, car Moi, le Seigneur, J’ai fait l’homme selon Mon image, avec des mains Je l’ai fait, tout comme Dieu, et il est créateur comme Dieu, car il a des mains et il en travaille beaucoup et merveilleusement, et voilà elle sert beaucoup la main de l’homme sur la terre, et ses mains sont les mains du Seigneur.

Vous, les fils de Ma cité, vous servez ici de vos petites mains, vous servez jour et nuit, et voilà, vous avez mis la table de fête au Seigneur et à Ses saints, et aujourd’hui nous nous arrêtons après la fête de résurrection, et J’ai à Ma droite Ma mère la Vierge, et J’ai Mes disciples, hommes et femmes avec Moi ici, au jour de Ma victoire, et nous sommes avec vous à table de désir nostalgique et nous nous offrons des joies et consolations, pendant que Ma mère la Vierge c’est la mère, et la maison a des parents à table, parents qui accueillent les enfants qui viennent de loin pour les fêtes et nous leur disons en ce grand jours saint: «Le Christ est ressuscité!».

Tout comme les parents distribuent de leur amour, partage-leur Dieu, oh Ma mère, partage leur de la table de fête, Ma mère!

— Oh, Fils ressuscité, Je Te leur partage ressuscité, et je leur dis le salut pour Toi, car leur Pâques c’est Toi.

Le Christ est ressuscité! C’est l’annonce de la résurrection de mon Fils le Christ, oh, les fils, et avec laquelle salue aujourd’hui le ciel de saints aussi. Je vous embrasse d’un amour maternel et je vous souhaite des frères du Christ, mon Fils ressuscité d’entre les morts, Celui né du Père avant les siècles, né de moi il y a deux mille ans par l’œuvre du Saint-Esprit et par l’ange, et voilà, les fils, Celui né encore et encore, Celui élevé de la terre d’entre les morts comme un nouveau né, vainqueur sur le diable, le tueur de Dieu, le Christ vainqueur de la mort, le dernier ennemi de mon Fils, tel qu’il est écrit, lorsque le maître de ce monde a été jugé, jugé par ce qu’il avait fait à Dieu, jugé par la résurrection du Seigneur.

Oh, Je vous appelle à l’esprit d’enfant, les fils. Vous voulez apprendre ce que c’est un enfant et l’esprit d’enfant? Regardez mon Fils, le Christ. Lui c’est l’Enfant Maître, et Son enseignement c’est de rendre tous enfants, enfants comme Lui, ayant tous père et mère, tous obéissants aux parents, des enfants obéissants.

Oh, comment pourrait-il être encore enfant celui qui n’obéit pas? Celui–là meurt tout de suite, tel qu’il est mort Adam le jour où il a transgressé la parole paternelle de Dieu en Eden, et il n’a plus obéi, et il est mort sans doute, de quoi vous pourrez apprendre que la désobéissance c’est la mort sûre, séparation de Dieu, du Maître de la vie, oh, et qu’il est difficile à l’homme d’apprendre à ne pas mourir, d’apprendre l’obéissance, et il ne se lève pas facilement de la mort pour obéir, car il a de la peine de renoncer à la désobéissance, celle qui met fin à l’enfance.

Oh, celui qui ne reste plus enfant, à quoi est-il bon encore, si non au péché de n’être plus enfant, d’être grande personne comme Adam et prendre le chemin de l’égarement des parents, tout comme Adam lorsqu’il a perdu par la désobéissance ses parents, par lesquels il avait été créé comme être semblable à Dieu, et au moment où il a déconsidéré les parents, il s’est caché et Dieu a dit alors: «Voici qu’Adam est devenu comme l’un de Nous, en connaissant le bien et le mal, comme Dieu, mais Nous empêchons-le maintenant de prendre de l’arbre de vie, d’en manger et de vivre éternellement». Voilà donc qu’il était mort vis-à-vis de Dieu, il était mort Adam, il a perdu ses parents et il a été déraciné et mis sur la terre, en même temps de la mort de tous ses descendants.

Oh, celui qui perd l’esprit et l’état d’enfant, il meurt, les fils. Par amour de mère du ciel je vous réveille pour enseignement de vie et je vous apprends l’esprit d’enfant. Oh, regardez-moi aussi, regardez mon obéissance, qui a montré mon état d’enfant. Vous pouvez faire la même chose pour être enfants, par l’obéissance vous le pouvez, les fils, car voilà le Christ, mon Fils obéissant en tout, jusqu’à la mort sur la croix, lorsque nous avons souffert avec Lui et pour Lui, nous, Ses chers, moi et Ses disciples, hommes et femmes, nous et ceux qui aimaient comme nous le Seigneur, oh, et nous avons pleuré sagement et sans bruit, mais nos cœurs nous tenaient à peine, et leur tristesse était accablante, cachée pour ceux qui nous entouraient, et nous sommes restés dans cette tristesse pour le Seigneur, pour Celui Qui attend le renouvellement du monde, le jour du renouvellement de le créature, la naissance à nouveau de l’homme, les fils, et nous soupirons avec le Seigneur, et le Seigneur avec nous soupire, nous soupirons tous dès lors et jusqu’à présent, et jusqu’à ce que notre Seigneur va étendre partout le nouveau vêtement du monde, celui qui n’aura pas de soir, ni de coucher, lorsque nous allons nous embrasser tous ensemble, comblés de cet instant-là, et le Père et le Fils et le Saint-Esprit, notre grand Dieu, seront glorifiés par nous en Un seul, dans Lequel nous nous sommes tous baptisés et nous existons.

Oh, frères disciples bien-aimés, voilà la table paternelle pour vous, pour nous, pour les parents! Ils n’ont pas raison les inconstants, ils ne peuvent pas se disculper ceux qui se lèvent de la table, ceux qui ne viennent pas passer les fêtes avec les parents, pour les consoler selon la vérité. Oh, ce n’est pas de la bouche que l’on peut aimer ses parents, ou par des sentiments instables, mais par l’esprit et la vérité, par la preuve de l’amour, les fils.

Oh, mon Fils ressuscité, Enfant aimé et obéissant jusque par la mort sur la croix, oh, gloire à Toi toujours, gloire venue de ceux obéissants comme Toi, car c’est seulement eux qui Te glorifient vraiment. Gloire à Toi pour ma gloire de T’avoir porté et né Enfant sur la terre. Gloire à Ta résurrection, Seigneur, mon Fils ressuscité! Amen.

— Oh, Ma mère, nous sommes les parents de la maison et du festin de résurrection, comme dans toutes les saintes fêtes avec Nous et avec eux, Ma mère. Ceux qui ne nous aiment plus devraient pleurer amèrement, mais ils ne le font pas, car ils pleurent de leur propre tristesse, et ils se sont faits de diffamateurs et ils font ce sombre péché, puisque c’est dans le noir qu’ils le font. Mais nous, nous avons demeure et table ici, et nous nous mettons à table ensemble, Nous d’en haut et eux d’en bas, car il y a de la foi pour nous, Ma mère.

Oh, vous, les fils qui préparez de vos petites mains le charme et la table des fêtes avec nous, vous êtes les bien-aimés, les bénis pour l’œuvre que vous faites devant Moi et devant ceux qui se réunissent à la maison, dans les fêtes et les rencontres.

Le Christ est ressuscité, les fils! C’est le festin de Pâques, et c’est cela le mystère du festin de Pâques. Le Christ est ressuscité, dites-le aussi à ceux qui ne viennent plus près de vous! On pourra entendre qu’ils viendraient, mais…! Oh, ils trouvent quelque faute, mais pas dans eux-mêmes, et comme d’habitude, ils la trouvent toujours ailleurs. Oh, s’ils trouvaient en eux-mêmes la faute, et de cette façon ils chercheraient en eux l’esprit d’enfant, qu’ils ont perdu par l’orgueil, par la désobéissance, par le manque de l’amour, par la dissimulation vis-à-vis de Dieu et des frères. Mais nous leur envoyons de la résurrection et nous leur annonçons que: «Le Christ est ressuscité!».

Il est ressuscité le Seigneur il y a deux mille ans. Que deux mille ans de résurrection eussent été pour les hommes aussi, ceux qui savent que le Christ est ressuscité!

Moi, le Seigneur, Je suis avec vous au festin de Pâques, et nous sommes ceux venus du ciel en grand nombre, les fils. Oh, faites-nous place, faites-nous place à table avec vous! Nous sommes pleins de dons, pleins et doux, doux et doux pour vous et avec vous, oh, les fils! Amen, amen, amen.

08-04-2018