La Parole de Dieu à la fête de Sainte Virginie, la trompette de Dieu

En jour de fête patronale de Mon établissement de ces jours sur le foyer du peuple roumain, Je M’inscris dans Mon livre d’aujourd’hui avec triple fête, et ceux du ciel se réjouissent à la table de Ma parole, qui prend place dans son livre.

C’est la fête patronale de Mon église de Nouvelle Jérusalem, car Ma trompette Virginie est la patronne de cet établissement, et elle a auprès d’elle, fêté maintenant, Mon apôtre le premier disciple, car il y a vingt-trois ans Je l’ai eu ici au jour où on a scellé le jardin de Ma parole, après y avoir construit l’arche de l’alliance, la petite pierre blanche, le symbole de l’annonce de Ma parole au-dessus de la terre à la fin du temps, et ensuite J’ai scellé pour ceux du ciel cet établissement et par l’esprit de Ma parole prononcée ici d’au-dessus de son jardin, pour être mise dans son livre et partagée ensuite comme nourriture, pour la croissance de ceux auxquels le Seigneur Se découvre pour qu’ils Le suivent, selon leur foi en Ma venue parole sur la terre, foi qui gagne ceux qui viennent avec leurs pas sur Ma voie d’aujourd’hui, pour Ma joie et celle du ciel, puisqu’on a besoin de disciples.

Je suis le Seigneur Jésus Christ, Je suis Celui Qui donne à l’homme la raison afin qu’il comprenne Dieu, tout comme J’ai donné à Mes disciples aussi, pour qu’ils Me comprennent avec toute Mon œuvre, lorsque le Père M’a envoyé sur la terre pour travailler Son œuvre entre les hommes. Je suis là avec le jour de la fête patronale de cet établissement. En ce jour de l’année Ma trompette Virginie est arrivée entre ceux du ciel, et elle a son peuple dans le ciel tout comme elle l’avait sur la terre aussi, et elle est la patronne du peuple de Ma parole, et auprès d’elle on a mis avec sa fête l’apôtre André, car on a jour après jour cette triple fête en ce jour de mystère, tout d’abord le jour où on a scellé le jardin de Ma parole, auprès de lui le jour de la fête de l’apôtre André et ensuite le jour de Ma trompette, tout dans une seule fête dans le ciel et sur la terre, et voilà la fête est couronnée par Ma parole et la leur, tout comme Moi, le Seigneur, Je fais avec Mes saints.

C’est Moi Celui Qui donne à l’homme la raison, car c’est Moi Qui ai bâti l’homme. C’est Moi le Créateur de l’homme et l’homme est Ma création, car sans son Créateur l’homme peut faire beaucoup de fautes, c’est pourquoi il a besoin de raison toujours et toujours, et voilà, on bâtit la vie agréable au Seigneur petit à petit en passant par beaucoup, beaucoup de fautes, desquelles l’homme apprend et apprend toujours, aidé par Dieu pour sa formation, car l’homme est faible, frêle, surpris sur la faute, impuissant dans la tristesse et les souffrances, et son Créateur le forme en l’aidant de lutter contre tout ce qui se présente pour entourer et affaiblir sa vie.

Oh, Mon peuple, Je voudrais que l’homme ait de Moi la raison et Je voudrais qu’il obéisse pour sa raison, car il n’y a personne à lui donner la raison, que Dieu. On bâtit sur la terre des écoles et des livres pour que l’homme y aille et recevoir raison et connaissances. Oh, Mon peuple, qu’est que Dieu peut faire avec celui qui apprend la raison de l’école? Les incroyants se demandent et doutent de Dieu à cause de leur présomption et ils disent que l’Ecriture n’est pas vraie, et cela parce qu’il faut avoir d’abord de l’instruction et puis écrire. Je veux dire à ceux-là que ce n’est pas l’école ou le livre qui ont été bâtis d’abord, mais c’est l’homme qui a été premièrement bâti, et lorsque Je l’ai bâti il a su et a parlé avec Moi, et Moi avec lui, car J’ai su et J’ai bâti et J’ai fait que Ma création sache parler et quoi parler et quoi comprendre, puisque c’est de Dieu le Créateur que l’homme a ce qu’il a. Oh, d’où l’enfant sait-il pleurer quand il naît? C’est de la souffrance, de la douleur c’est du mal de l’enfantement qu’il le sache. Oh, et ensuite d’où sait-il parler, croître, marcher, travailler? Oh, les fils, c’est de Dieu que l’homme a la raison, et ensuite ils s’entraident et c’est de Dieu que tout existe dans les hommes, pour qu’ils puissent savoir agir. Qui a instruit Adam, qui lui a enseigné à lire et à écrire pour savoir. Par qui a été instruit Jean Baptiste, qui l’a aidé depuis son enfance jusqu’au Jourdain, pour qu’il fasse connu le Seigneur aux hommes?

Qui a appris aux prophètes d’écouter de Dieu et d’écrire ensuite? Oh, les fils, l’animal qui vit près de l’homme a eu de l’instruction? D’où sait-il aimer, consoler son maître, être aussi fidèle envers lui, qui lui a appris tout cela? Oh, ce n’est pas la mère qui apprend à l’enfant. Ce n’est pas l’animal qui apprend à l’animal ce qu’il doit savoir et faire. Oh, non, mais c’est le Seigneur, le Créateur de l’homme et de tout ce qu’il y a en lui et de tout ce qui se trouve entre le ciel et la terre, des êtres doués d’âme vive.

Oh, que de foi, que de rapprochement de Dieu le Créateur, que de reconnaissance doit savoir travailler l’homme, et tout par Dieu! Il faut que Dieu accorde à l’homme la raison en tout et toujours, ce n’est pas l’homme qui doit s’en donner et se faire. Oh, quelle merveilles se montreraient entre la terre et le ciel si l’homme comprenait qu’il fait travailler de Dieu! Voilà comment on bâtit la vie de l’homme, la vie agréable au Seigneur dans l’homme, et rangée peu à peu, tout doucement, par beaucoup de fautes, pour que l’homme puisse s’assagir pour le bien ensuite. Et maintenant Ma trompette Virginie, a la parole en son jour de fête et elle est accompagnée de son peuple du ciel au festin d’aujourd’hui, car Moi, le Seigneur, J’ai dans le ciel aussi peuple né de son travail avec Moi, J’en ai sur la terre de même, et c’est ainsi que Nous travaillons l’œuvre d’aujourd’hui.

Oh, Ma Virginie, qu’elle soit bénie l’œuvre de ta parole au festin d’aujourd’hui! Amen.

— Amen, amen, Seigneur, et que Ton peuple apprenne à prendre raison du ciel, qu’il apprenne de Dieu la raison et ne pas se demander comment, car c’est Toi la Source, Seigneur, et moi j’écoute et je parle maintenant.

De l’amour ailé que vous receviez du Seigneur, fils d’aujourd’hui du Seigneur la Parole, car il vous porte par des temps doux et par des temps avec des tristesses. Que vos cœurs soient attachés au Seigneur, car c’est avec Lui qu’il reste l’homme qui connaît son début éternel, lorsque le Seigneur va venir pour mettre à Sa droite ceux qui ont eu et qui ont de l’amour.

Oh, c’est la fête patronale de l’établissement dans lequel le Seigneur vous a mis, et nous, ceux du ciel, nous sommes à table avec vous. Près de mon jour de fête se tient avec son jour d’entrée dans le ciel le premier disciple de notre Seigneur, l’apôtre André. Nous nous inclinons ensemble devant ceux du ciel et devant ceux de la terre, ceux qui portent notre fête. Nous avons été l’un près de l’autre, témoins du ciel au jour où on a scellé le jardin du Seigneur il y a vingt-trois ans, et vous avez été témoins de la terre, près du prélat témoin, par lequel on a mis par la parole les scellés de la sainteté sur le jardin de la parole, et nous regardons maintenant ce jour et nous avons raison de soupirer. Mais aujourd’hui nous nous consolons aussi car nous avons à table ceux du ciel, le peuple du ciel de cette parole créatrice de fils pour le ciel, et nous faisons mémoire de la chère âme venue chez nous il y a un an et nous parlons peu sur ce sujet, car il y a beaucoup d’humilité, beaucoup d’attention, et il y a beaucoup de travail, de soin pour garder le pouvoir pour le travail, et nous ne provoquer pas de douleur en haut et en bas, mais nous travaillons spirituellement et c’est ainsi que nous consolons. Ces deux enfants, dont un est en haut avec moi maintenant, se sont portés dans les bras par les douleurs et ils se sont donné de saintes consolations, portant les doux fardeaux de la vie, et le Seigneur les a soutenus toujours et les a gardés dans Son travail, et voilà, Il les a encore comme travailleurs pour Lui. Voilà, près de ma fête il y a maintenant celle-ci aussi et nous travaillons tous, nous travaillons du ciel et de la terre en même temps et nous ornons le jour de fête patronale de cet établissement, et elle est grande la joie du peuple celui du ciel maintenant, peuple qui insiste beaucoup auprès du Seigneur pour la marche de Son œuvre, pour l’accomplissement de tout ce qu’il y a à travailler, et vous, enfants d’en bas, que votre amour ait des ailes en travaillant, et tenez-vous sur ses ailes, puisque sans amour tout est très difficile, les fils.

Oh, Seigneur, que Ton peuple apprenne la raison du ciel, car c’est Toi la Source. L’homme ne peut avoir l’instruction des livres de la terre, car tout est en Toi, et sans Toi l’homme se gâte et il apprend de l’homme, de celui qui croit savoir, qu’il a appris pour savoir. Oh, d’où sait-il le cheval ou la brebis, d’où les animaux savent-ils paître, s’abreuver, et pleurer quand ils en manquent de Toi, oh, et Ta sagesse et Ton savoir d’où l’ont-ils? Et nous, ceux logés maintenant entre ceux du ciel, d’où savons-nous venir et parler maintenant entre ceux du ciel, d’où savons-nous venir et parler maintenant à cette table fraternelle et festive? Oh, c’est de Toi, Seigneur, que nous pouvons et savons, car c’est avec Toi que nous allons et nous travaillons.

Oh, ce n’est pas de la terre qu’il faut prendre l’instruction. Ce n’est pas de la terre qu’il a su parler l’homme bâti de Ta main et de Ton Esprit au commencement. Que les incroyants ne se demandent pas qui avait écrit Ton histoire avec l’homme dans le livre où elle s’est réunie, dans l’Ecriture, Seigneur. Oh, qui a appris à Jean Baptiste à penser, à parler, à prophétiser du Seigneur et à parler avec le Seigneur au Jourdain? Voilà, c’est Toi la science qui se trouve dans l’homme porté de Toi, et il ne doit pas s’enorgueillir l’homme sans Dieu entre les hommes sur la terre. Moi non plus, Seigneur, je n’ai pas eu, moi non plus, l’instruction de la terre, mais Tu es venu à moi et Tu as mis en moi l’esprit de la prophétie, Ton parler avec l’homme, Tu l’as mis dans ma poitrine, dans ma pensée, dans ma vue. Qu’ils s’étonnent les hommes qui ne comprennent pas le Seigneur et toutes Ses œuvres sur la terre entre les hommes, car les hommes porteurs de Dieu ont des ennemis sur la terre, puisqu’ils sont ceux qui sont tout comme Dieu, et ceux qui n’ont pas d’ennemis ils ne sont rien, mais ils sont pour la corvée et c’est tout.

Qu’ils se repentissent et qu’ils se confessent, Seigneur, tous ceux qui ont été avec Toi par cette œuvre de parole et ils ont quitté ensuite la source et le lieu de la source. Oh, qu’ils s’abaissent ceux-là pour qu’il leur soit remis ce péché, car il est grave au ciel ce péché. Moi, je suis Ta trompette, je sonne le réveil et je leur dis: repentez-vous ceux qui avez mangé du lait et du miel et avez eu une indigestion ensuite! Oh, vous ne devez pas rester des juges. Dépêchez-vous de vous dégager de cette accusation, car voilà ce qu’il est écrit: «Ne jugez pas et vous ne serez pas jugés». Oh, si vous avez gâté le visage du Seigneur, si vous n’avez pas essuyé ensuite le lieu où vous avez frappé, cela le Seigneur pardonne, mais Il ne peut le faire s’il n’y a pas de repentir et confession après le repentir. Oh, que de douleur pour nous, ceux du ciel, pour ceux qui sont maintenant dans le ciel le peuple de cette œuvre de parole sur la terre! Nous intercédons beaucoup pour vous, mais sans votre repentance il n’y a pas de pouvoir du ciel pour vous, et vous pouvez descendre de plus en plus bas, en n’accomplissant pas le Seigneur en vous, en vous séparant de Lui et de Sa source, dont vous avez beaucoup bu vous aussi. Oh, levez-vous tant qu’il fait jour encore, secouez vos habits, lavez-les et renouvelez votre amour, car ce ne sont pas les péchés, mais l’insoumission qui sépare le Seigneur de l’homme. Je vous prie du ciel et je sonne de la trompette après vous, cherchez votre lumière perdue, puisque dans le monde il n’y a pas de salut, et vous marchez à côté des pécheurs, mais David l’empereur a souhaité se tenir comme ignoré dans les parvis du Seigneur, plutôt que d’habiter sous les tentes des impies, mes fils, ce lieu n’est que le monde avec ses fils. Et je veux vous consoler et vous réveiller car on ne peut effacez du livre du Seigneur vos pas auprès de Sa source, du temps où vous êtes allés avec le Seigneur.

Et toi, Seigneur, je Te prie, donne-leur la raison, donne la leur Toi-même, Toi Seigneur, car ce n’est pas de la terre que l’homme a la raison, mais c’est seulement Toi qui ajoutes Ta grâce dans l’homme pour qu’il l’emploie. Oh, c’est seulement de Toi que l’homme a ce qu’il a, et celui qui n’a pas de Toi, il n’a rien, rien, même alors que personne dans le monde n’ait plus que lui de rangs, d’instruction, de grandeurs de toute sorte.

Maintenant je dédie à Toi, Seigneur ce magnifique jour de triple fête, et l’apôtre André a sa prière devant Toi en ce jour, Amen.

— Oh, ouvre les cieux, Seigneur, pour que les fils du peuple roumain puissent Te voir, car j’attends depuis deux mille ans Ta gloire au milieu de ce que j’ai scellé avec Ton nom avant ma venue à Toi par la croix, par la croix avec grand peine, Seigneur. J’ai démontré ma fidélité par des douleurs et par la croix, et maintenant j’attends Ton don, Ta gloire sur la terre roumaine, la joie que je souhaite depuis deux mille ans, Seigneur, et voilà, la joie que je désire depuis deux mille ans, Seigneur, et voilà, la joie naît peu à peu et s’accomplie, et moi j’attends comme tous ceux du ciel le moment où Ton jour de gloire va embrasser le ciel et la terre, et Tes saints vont avoir eux aussi le jour de leur consolation, le jour de la joie. J’ai été Ton témoin au jour où on a scellé le jardin de Ta parole et j’ai établi le pouvoir des portes sur le jardin, pour qu’il soit le Tien et pas pour le monde ce jardin, et Ton prélat de ce temps-là a prononcé parole qui scelle et elle s’est justement accomplie Ta volonté, par nous, dans le ciel et sur la terre en même temps en ce jour de témoignage.

Oh, mon frère prélat, n’oublie pas, n’oublie pas le magnifique moment lorsque tu as eu service mystérieux auprès de ceux du ciel en ce jour, lorsque on a écrit ta parole sur ce jardin afin de le sceller. Tu es écrit au ciel avec ce jour et personne ne peut y monter pour essuyer ton nom du livre de ce jour-là. Oh, tiens-toi dans le livre avec l’esprit de ton cœur, car on ne peut rompre cette page du livre. Je supplie maintenant le Seigneur de t’envelopper de l’esprit de la foi que tu as eue ce jour-là, et toi tu dois lutter selon ce que je demande pour toi dans ma prière devant le Seigneur.

Oh, Seigneur, glorifie-Toi en lui pour Toi, car il a été Ton témoin et on a écrit alors jour de témoignage au ciel et sur la terre, et moi je m’incline en ce jour, jour de grande fête, triple fête, Seigneur, Amen.

— Moi, le Seigneur, Je laisse partout Ma consolation. Pour ceux du ciel et pour ceux de la terre, Je laisse Ma consolation de l’apaisement aussi et Je fortifie Mon œuvre, car il y a beaucoup, beaucoup de travail, et on a besoin de consolation et de force pour le travail.

Il faut que tu apprennes, Mon peuple. C’est du ciel qu’on apprend la raison. Je vais envoyer par les portes l’enseignement pour toi en ce jour, et tu dois travailler ensuite sur toi, puisque c’est du ciel que tu dois prendre et avoir. Paix à toi, maintenant! C’est jour de fête patronale pour Mon établissement avec toi, et le festin est céleste. Que tu travailles beaucoup de paix, et de cette manière accomplis Ma parole pour toi, parole par laquelle Je te dis: Paix à toi, Mon peuple, paix à toi! Que Ma paix soit avec toi, Mon fils, Mon peuple! Amen, amen, amen.

14-12-2014